Comme il ressort des dernières statistiques, il y a au moins 53 % des Français qui se disent catholiques, tandis que le groupe de ceux qui participent régulièrement à l’eucharistie dominicale s’élève tout au plus à 5 % de la population.

Cet ouvrage se penche sur cet ensemble de « non-pratiquants » et réfléchit sur l’attitude juste à avoir à leur égard. L’auteure se situe dans la perspective des quelques participants actifs à la vie de l’Église pour qui les autres, pourtant étiquetés « catholiques », ne pratiquent « pas assez ». Contre ce schème sociologique et théologique, elle pose clairement la question : quelle place accorder dans l’Église à ces pratiquants occasionnels ? Ce qui suppose que ces femmes et ces hommes ne soient plus réduits à leur absence de pratique religieuse, mais considérés comme de véritables « fidèles ».

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